Hervé Claustre, Directeur de Recherche au Laboratoire d'Océanographie de Villefranche (Institut de la Mer de Villefranche, CNRS, SU) a reçu de l'European Research Council une bourse dans la catégorie "Advanced Grants" dans le Domaine Earth System Science (PE10 - 2018). Son projet intitulé REFINE (Robots Explore plankton-driven Fluxes in the marine twIlight zoNE) lui permettra de poursuivre avec son équipe les travaux réalisés dans le cadre du projet REMOCEAN (Relotely-sensed biogeochemical cycles in the oceans), également financé par l'ERC en 2009.
Le Docteur Rainer Kiko (GEOMAR, Kiel, Allemagne), lauréat du programme Climat et Développement Durable,devrait prochainement rejoindre le LOV à l'Institut de la Mer de Villefranche (IMEV) pour travailler sur la Désoxygénation de l'Océan Atlantique Tropical, avec notamment Lars Stemmann.
Spécialisée dans la production d'ingrédients à base de micro-algues marines naturelles, la startup de biotechnologie niçoise Inalve actuellement hébergée à l'Institut de la Mer de Villefranche et fondée par Hubert Bonnefond et Christophe Vasseur, respectivement ex doctorant et post dov du LOV, vient de lever 1,6 million d'euros.
Four scientists explain why they went to France as part of the Make Our Planet Great Again initiative. Among them, Adrian Burd, Professor of marine sciences at the University of Georgia, US, explains why he came to LOV to collaborate with Lionel Guidi. For more information on this subject.
STEEVE COMEAU, jeune chargé de recherche au CNRS récemment recruté au LOV à l'Institut de la Mer de Villefranche (IMEV), rejoint le comité éditorial de la prestigieuse revue Limnololy & Oceanography, en tant qu'éditeur associé.
Photo : Maria-Luiza Pedrotti-TARA Pacific Sorbonne Université proposait un focus sur Maria-Luiza Pedrotti chercheuse en biologie marine au Laboratoire d’Océanographie de Villefranche-sur-Mer (LOV) à l'IMEV (Institut de la Mer de Villefranche) dont les recherches, notamment dans le cadre de TARA (elle a mené durant 6 mois l'expédition TARA Méditerrannée puis a par la suite été très impliquée dans TARA Pacific) s'intéressent aux microplastiques dans les océans et aux dangers qu'ils représentent pour l'environnement marin.
Des chercheurs du monde entier (CNRS et Sorbonne Université en France, Japon et Etats-Unis), dont Lars Stemmann (Institut de la Mer-IMEV), ont publié un article dans Nature Climate Change (Prediction of unprecedented biological shifts in the global ocean DOI : 10.1038/s41558-019-0420-1) qui présente un nouveau modèle utilisé pour mieux comprendre et analyser les fluctuations et perturbations biologiques affectant les milieux marins à l'échelle globale. Ce modèle est basé sur la théorie de l'organisation de la biodiversité METAL (Macro Ecological Theory on the Arrangement of Life), et a été validé avec des observations. Parmi celles-ci, les données recueillies dans la rade de Villefranche sur Mer, au "Point B", dans le cadre d'un "programme" d'observation suivi depuis près de 60 ans à Villefranche - en faisant une des séries de données la plus longue et "constante" au monde - ont été utilisées *. Ainsi la rade de Villefranche et plus légèrement le bassin Ligure devient une sentinelle mesurant l'impact du changement climatique sur les écosystèmes marins.