Le film Bleu Océan coordonné par J.P Gattuso et produit dans le cadre de « Oceans 2015 Initiative pour la COP21 », a reçu le Trophée en Or du Festival des "Deauville Green Awards" dans la catégorie : "Lutte et adaptation aux changements climatiques".
Le Domaine du Rayol accueille du 4 juin au 25 septembre 2016, l’exposition « L’OCÉAN, régulateur du climat », coordonnée et réalisée par le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM).
En prévision de la prochaine évaluation HCERES du laboratoire et pour initier l’exercice de prospective associé, l’équipe OMTAB a organisé une retraite scientifique à la station STARESO à Calvi, Corse.
L'Underwater Vision profiler dévelopé à l'Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-mer a permis de mettre en évidence l'abondance de Rhizaria, un espèce passée quasiment inaperçue jusqu'au déploiement répété de cet appareil.
Nice Matin est revenu sur le projet MEDITES à travers un "zoom" sur les collégiens de Breil-sur-Roya impliqués dans le projet, et qui, dans sa continuité, effectuaient une sortie de trois jours sur les îles de Lerins. Un bel hommage est rendu au rôle prépondérant que joue l'Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer dans MEDITES et dans l'accompagnement qu'il a apporté aux collégiens tout au long de l'année, dans ce cadre.
Next-generation autonomous platforms allow scientists to understand physical mechanisms that control nitrate availability in the Mediterranean surface water.
Qu'ils soient marins ou terrestres, les systèmes des hautes latitudes contiennent un nombre d'espèces très réduit par rapport aux populations des zones tempérées ou tropicales. C'est ce qu'on appelle le gradient latitudinal de biodiversité. Mais que se passe-t-il à l'échelle des populations ? Le nombre d'espèces dominantes diminue-t-il au même rythme que celui des espèces minoritaires ? Pour le savoir, John Dolan, chercheur CNRS au Laboratoire d'Océanographie de Villefranche-sur-Mer (LOV - CNRS/UPMC), en collaboration avec des chercheurs du Korean Polar Research Institute, s'est intéressé aux tintinnides. Ces organismes planctoniques rassemblés en quelque 1 200 espèces, dont certaines, dites dominantes, sont largement représentées alors que les autres, moins nombreuses, servent en quelque sorte de doublures aux premières. Dans une étude publiée online le 18 mars 2016 dans The ISME Journal, les scientifiques ont mis en évidence un appauvrissement global des populations de ce groupe de zooplancton ainsi qu'une variation de leur composition lorsque l'on se rapproche du pôle Nord.